Je rends hommage ce soir à ces femmes tunisiennes qui ont su accoucher d'un peuple si séduisant si féérique.
Ces dames d'honneur et de courage qui ont toujours supporté leurs maris et leurs progénitures dans la conquête de leur dignité violée et martyrisée.
Je suis fier de vous mesdemoiselles et mesdames. Vous me comblez.
Je suis un amoureux, un passionné d’un seul sourire certes, d’un seul regard et d’une seule fossette mais c’est parce qu’en elle j’admire toute la gent féminine.
J’aime les filles munies de leur gloss autant que les demoiselles armées de leur seuls courage et patience pour affronter les aléas de ce destin ridé.
J’ai une pensée particulière aux mères et aux sœurs de Bouzid, de Meknassi et de Menzel Bouzayene et puis de Théla, de Kasserine et d’ailleurs.
Ces dames qui ont dignement refusé les vingt milles dinars de dédommagement offerts par le gouvernement rappelant que rien ne pourra remplacer leurs enfants morts en martyrs pour la liberté et qu’elles ne troqueront jamais leur droit en une justice rendue pour quelques dinars aussi miséreuses soient-elles.
Mon esprit frémit aussi à l’évocation de cette femme tunisienne présente sur tous les fronts depuis que Bourguiba est venu l'émanciper (espérons que ce soit) à jamais des chaînes de l’obscurantisme.
Femme tunisienne, je t’aime. Je n’ai que mon cœur à t’offrir.
Tu accepteras je l’espère ma place dans ce bus étatique [à la peinture jaune esquintée par le poids de la dictature,] en guise de remerciement et de reconnaissance pour tes services rendus à la nation et je m’excuse au nom de tous les hommes de la terre pour tous les bleus qu’un XY ait pu causer à une si douce créature.
Femme tunisienne, pour faire court, et Dieu sait combien tu es occupée, merci infiniment d’exister !
Ces dames d'honneur et de courage qui ont toujours supporté leurs maris et leurs progénitures dans la conquête de leur dignité violée et martyrisée.
Je suis fier de vous mesdemoiselles et mesdames. Vous me comblez.
Je suis un amoureux, un passionné d’un seul sourire certes, d’un seul regard et d’une seule fossette mais c’est parce qu’en elle j’admire toute la gent féminine.
J’aime les filles munies de leur gloss autant que les demoiselles armées de leur seuls courage et patience pour affronter les aléas de ce destin ridé.
J’ai une pensée particulière aux mères et aux sœurs de Bouzid, de Meknassi et de Menzel Bouzayene et puis de Théla, de Kasserine et d’ailleurs.
Ces dames qui ont dignement refusé les vingt milles dinars de dédommagement offerts par le gouvernement rappelant que rien ne pourra remplacer leurs enfants morts en martyrs pour la liberté et qu’elles ne troqueront jamais leur droit en une justice rendue pour quelques dinars aussi miséreuses soient-elles.
Mon esprit frémit aussi à l’évocation de cette femme tunisienne présente sur tous les fronts depuis que Bourguiba est venu l'émanciper (espérons que ce soit) à jamais des chaînes de l’obscurantisme.
Femme tunisienne, je t’aime. Je n’ai que mon cœur à t’offrir.
Tu accepteras je l’espère ma place dans ce bus étatique [à la peinture jaune esquintée par le poids de la dictature,] en guise de remerciement et de reconnaissance pour tes services rendus à la nation et je m’excuse au nom de tous les hommes de la terre pour tous les bleus qu’un XY ait pu causer à une si douce créature.
Femme tunisienne, pour faire court, et Dieu sait combien tu es occupée, merci infiniment d’exister !
2 commentaires:
nice text; bien écrit mr boukornine
hommage aux femmes tunisiennes :)
votre article est tré bien dit
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