Les fidèles du Boukornine

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samedi 5 juin 2010

Back to basics



Je me remets à écrire après des semaines entières de sécheresse.
Il faut dire que le blogging m’a manqué.
En retranscrivant ses songes, on a l’impression de délirer à plus grande échelle.
L’esprit devient aussi état un endroit trop étroit pour pouvoir se mouvoir.
Dieu a créé la toile, Ammar l’a décapitée, certes. Mais, il reste encore une marge de manœuvre que nous nous devons d’exploiter jusqu’à ce que mort s’ensuive. 
C'est ce que nous faisons, dignement, librement et calmement. (il me fallait un troisième adverbe pour boucler la phrase, je n'ai pas trouvé mieux, ma muse n'étant pas là) 

mercredi 10 février 2010

On n’est jamais aussi bien que chez soi





Cela fait déjà aux alentours d’une vingtaine de jours que j’ai pris ma « ferme » décision d’en finir définitivement avec ce blog et de passer à autre chose.

J’entends par autre chose, un nouveau blog, un nouveau chez soi et un nouveau départ.
Ce fut le cas avec le parloir, un endroit où je m’évade de mon quotidien étouffant.

J’avoue être un individu faible qui a fini par flancher. J’ai développé plus qu’une accoutumance à ce blog. Je perçois le Boukornine comme une partie de moi-même dont l’amputation me serait impossible sauf cas de force majeure (Mourir par exemple).

Je reviens donc avec un appétit gargantuesque d’écriture, de révolte, d’amour et de poésie.

La fleur au fusil, armé d’un stylo à bille et d’une feuille à peu prés de couleur blanche, je me dois de faire vivre des mots, de les faire chanter et danser à volonté pour que la voix de la magnifique montagne du Boukornine ne s'éteigne jamais.

jeudi 18 juin 2009

Obsédé par l’écriture





J’ai essayé de m’abstenir. J’ai juré par tous les dieux que je n’y remettrai plus les pieds. Je savais que ce n’était pas gagné d’avance. Je sais maintenant que c’est perdu.

J’aime marier les mots. J’aime immortaliser mes joies et mes maux.

Je ne suis certainement pas un as des verbes intransitifs ni même un fin connaisseur des locutions.

Je suis simplement un accro du son que fait mon clavier quand je tape un texte.

J’aime partager des moments qui me marqueront. J’aime publier des souvenirs dont je suis le seul à prendre gout.

Je ne sais plus si j’écris pour vivre ou si je vis pour écrire. De toutes les manières, je trouve qu’écrire est une fonction vitale non moins importante que la respiration. Et ce n’est pas un hasard si l’oxygène est désigné par une lettre de l’alphabet : O. C’est dire l’importance des mots.

Je (ré)écris… donc je suis.

Un grand merci pour ceux qui m'ont encouragé!