Ce mercredi, on a débattu au sein de la haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution d'un sujet fort intéressant à savoir l'organisation des partis politiques.
Personnellement, dés l'annonce du report de la date des élections j'ai attendu impatiemment que ce problème soit soulevé et traité radicalement par cette structure qui est la seule apte à le faire dans cet environnement "intérimaire".
Mais Ennahdha n'est pas du même avis.
En effet, disposant d'un financement colossal de la part des enturbannés du golfe avec leurs pétrodollars pourris, Ennahdha verrait d'un mauvais oeil une éventuelle réglementation du financement des partis.
D'ailleurs, les représentants d'Ennahdha se sont retirés de la séance du mercredi après-midi portant sur le décret-loi relatif à l'organisation des partis.
Comment peut-on parler d'une transition démocratique quand un des partis use de moyens détournés et prohibés pour augmenter ses chances de gagner les élection ?
Comment peut-on tolérer une éventuelle tricherie ?
Comment ne pas enquêter sur les origines du financement des partis ?
Comment accepter que les enturbannés du golfe s'ingèrent dans notre vie politique et décident pour le peuple tunisien de son devenir ?
Si le Qatar ou le Koweït à titre d'exemples décident d'installer un régime islamiste en Tunisie et y mettent les moyens, comment être sûr que c'est également ce que veut la majorité des tunisiens ?
Ennahdha menace même de suspendre son adhésion à la haute instance de Ben Achour. C'est qu'ils veulent nous pourrir notre révolution et tels des vampires, se nourrir du sang de nos martyrs pour venir installer leur dictature sur notre terre bénite.
Sauf qu'il y a un hic... L'invincible volonté du peuple tunisien de faire de son pays un havre de paix et un exemple de démocratie pour les pays arabes...
Personnellement, dés l'annonce du report de la date des élections j'ai attendu impatiemment que ce problème soit soulevé et traité radicalement par cette structure qui est la seule apte à le faire dans cet environnement "intérimaire".
Mais Ennahdha n'est pas du même avis.
En effet, disposant d'un financement colossal de la part des enturbannés du golfe avec leurs pétrodollars pourris, Ennahdha verrait d'un mauvais oeil une éventuelle réglementation du financement des partis.
D'ailleurs, les représentants d'Ennahdha se sont retirés de la séance du mercredi après-midi portant sur le décret-loi relatif à l'organisation des partis.
Comment peut-on parler d'une transition démocratique quand un des partis use de moyens détournés et prohibés pour augmenter ses chances de gagner les élection ?
Comment peut-on tolérer une éventuelle tricherie ?
Comment ne pas enquêter sur les origines du financement des partis ?
Comment accepter que les enturbannés du golfe s'ingèrent dans notre vie politique et décident pour le peuple tunisien de son devenir ?
Si le Qatar ou le Koweït à titre d'exemples décident d'installer un régime islamiste en Tunisie et y mettent les moyens, comment être sûr que c'est également ce que veut la majorité des tunisiens ?
Ennahdha menace même de suspendre son adhésion à la haute instance de Ben Achour. C'est qu'ils veulent nous pourrir notre révolution et tels des vampires, se nourrir du sang de nos martyrs pour venir installer leur dictature sur notre terre bénite.
Sauf qu'il y a un hic... L'invincible volonté du peuple tunisien de faire de son pays un havre de paix et un exemple de démocratie pour les pays arabes...