C’est une affaire tragicomique à laquelle on a assisté dernièrement.
Un journal de l’envergure d’Essabeh qui vient de réaliser une entrevue imaginaire avec le chanteur français Charles Aznavour.
Aussitôt, Aznavour a démenti à l’AFP qu’il comptait prendre sa retraite juste après le concert qu’il donnera dans le cadre du festival de Carthage.
Comment sommes-nous arrivés à ce niveau de bassesse ?
Ce sont ces mêmes journaux redresseurs de tort et éternels donneurs de leçon, qui se permettent à chaque fois que l’occasion se présente de dénigrer la blogosphère tunisienne et les bloggueurs en général à travers des articles qu’ils n’ont même pas l’audace de signer.
Un journaliste qui trompe sa rédaction en fournissant une entrevue montée de toute pièce… Ceux qui s’interrogent sur l’absence de journaux tunisiens dans les revues de presse internationale ont désormais une réponse satisfaisante.
C’est à cause de journalistes pareils, dépourvus de toute déontologie et du moindre professionnalisme, que le 4ème pouvoir tunisien est quasi-absent.
Beaucoup se demandent à propos de la crédibilité de la presse tunisienne après ce coup dur… Mais depuis quand la presse tunisienne a-t-elle une quelconque crédibilité ?!
Ce sont pour la plupart des torchons menés par des pseudo-journalistes.
Cette affaire survient, faut-il le rappeler juste après un scandale qui a touché la presse écrite tunisienne concernant le plagiat d’informations collectées par le site e-s-tunis.com
1 commentaire:
Un journalisme professionnel est un journalisme qui dérange, alors pourquoi voudrait-on changer les choses ?
Laissons les médiocres le faire afin qu'il n'y ai pas de 4eme pouvoir, ni de 3eme ni de 2eme.
Enregistrer un commentaire