Les fidèles du Boukornine
mercredi 10 février 2010
On n’est jamais aussi bien que chez soi
Cela fait déjà aux alentours d’une vingtaine de jours que j’ai pris ma « ferme » décision d’en finir définitivement avec ce blog et de passer à autre chose.
J’entends par autre chose, un nouveau blog, un nouveau chez soi et un nouveau départ.
Ce fut le cas avec le parloir, un endroit où je m’évade de mon quotidien étouffant.
J’avoue être un individu faible qui a fini par flancher. J’ai développé plus qu’une accoutumance à ce blog. Je perçois le Boukornine comme une partie de moi-même dont l’amputation me serait impossible sauf cas de force majeure (Mourir par exemple).
Je reviens donc avec un appétit gargantuesque d’écriture, de révolte, d’amour et de poésie.
La fleur au fusil, armé d’un stylo à bille et d’une feuille à peu prés de couleur blanche, je me dois de faire vivre des mots, de les faire chanter et danser à volonté pour que la voix de la magnifique montagne du Boukornine ne s'éteigne jamais.
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2 commentaires:
Et tu le feras si bien, j'en suis plus que sûre!!Bon retour Parmi nous
الحي يروح ;))
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